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Livres primés 2004Livres primés en anglaisLivres primés en français Prix littéraires internationaux Livres primés en anglaisAMELIA FRANCES HOWARD-GIBBON AWARD
Stanley est un bon chien, il sait qu'il ne peut pas grimper sur le canapé. Pourtant, un soir où ses maîtres sont sortis, il transgresse cette interdiction. Quel plaisir! Un peu avant minuit, il remet tout en ordre afin que personne ne se doute de rien. Le soir suivant, il joue de la musique, danse à travers le salon, et se sert même, dans le réfrigérateur, un petit goûter. Bien qu'il s'amuse beaucoup, Stanley se lasse de jouer seul. Il veut une petite fête et invite tous les chiens du voisinage. Malheureusement, le soir de la fête, ses propriétaires rentrent tôt. Pris en faute, Stanley doit participer au nettoyage, qui dure deux jours. Depuis, Stanley accompagne ses maîtres à chacune de leurs sorties. Linda Bailey et Bill Slavin, auteurs de la collection Good Times Travel Agency, reçoivent de nouveau un prix. Les acryliques de Slavin, amusantes et riches de détails, rendent à merveille la hardiesse de Stanley. Elles forment un beau complément à l'écriture simple et directe de Bailey. Stanley's Party séduira les jeunes lecteurs, et aura tôt fait de devenir un de leurs livres préférés. -AC ANN CONNOR-BRIMER AWARD
Élevé par un grand-père alcoolique et abusif, et une grand-mère malade chronique, Reef se retrouve, après leur mort, déporté d'un foyer d'accueil à l'autre. Devenu jeune adulte, il est plein de colère et tente de prendre le contrôle de sa vie en s'adonnant à des actes de violence gratuite. C'est ainsi qu'une fois, il jette une pierre par-dessus un viaduc et fracasse le pare-brise de la voiture de Leeza Hemming. Considéré jeune délinquant, Reef est envoyé dans un foyer de groupe. Pour purger sa peine, il doit travailler bénévolement dans une maison de convalescence, à Halifax, celle-là même où Leeza se remet de son accident. Ils ne se reconnaissent pas. Reef aide peu à peu Leeza à se rétablir, puis l'inévitable se produit. La mère de Leeza l'ayant reconnu - elle qui avait trouvé le jugement trop clément -, elle obtient une ordonnance de la cour qui interdit à Reef d'approcher sa fille. Cependant, Reef n'est plus le jeune homme en colère qui avait jeté la pierre. Alors qu'il souhaite obtenir le pardon de Leeza, il s'est du moins pardonné. Leeza se laisse entraîner à l'église où, comble d'ironie, mère et fille entendent un sermon sur le pardon : « Que celui ou celle qui n'a jamais péché jette la première pierre. » Ni Leeza ni sa mère n'ont innocenté Reef. Il est important de noter que ce livre contient des descriptions médicales et un langage très crus. -LS ARTHUR ELLIS AWARDS
Le manuel du FBI qui traite des tueurs en série donne au terme « accélération » la définition suivante : « recrudescence d'un comportement anormal de plus en plus destructeur ». Pourquoi le jeune Duncan, âgé de 17 ans, lit-il un manuel du FBI? Tout a commencé avec cet emploi ennuyeux au bureau des objets perdus, dans l'entreprise des transports de Toronto. Installé au-dessous du niveau du métro, Duncan passe son temps seul avec son superviseur Jacob, un vieil homme grincheux, à dresser l'inventaire des objets au fur et à mesure que les gens les apportent. Un jour, Duncan entame la lecture de livres laissés aux objets perdus. L'un d'eux en particulier retient son attention; il s'agit du journal d'un fou. Le livre décrit les grandes lignes d'un incendie criminel, ainsi que la mutilation et l'exécution d'animaux. L'auteur se présente comme un chasseur qui a choisi une nouvelle cible : les femmes dans le métro. Duncan se doit de le trouver avant qu'il ne revendique sa première victime humaine. Comme le dit son ami Vinny : « Nous allons toi et moi chercher ce gars-là, ce sera comme les Hardy Boys qui partent à la rencontre d'Hannibal Lecter. » L'histoire construit un long suspense et se termine sur une fin tragique et violente. Le premier roman de Graham McNamee, Hate You, a reçu le ALA Best Book for Young Adults, le Austrian Children's Book Award, et il a été mis en nomination pour le Prix littéraire du Gouverneur général. Acceleration est son quatrième roman. -LS BLUE SPRUCE READING PROGRAM
Stanley est un bon chien, il sait qu'il ne peut pas grimper sur le canapé. Pourtant, un soir où ses maîtres sont sortis, il transgresse cette interdiction. Quel plaisir! Un peu avant minuit, il remet tout en ordre afin que personne ne se doute de rien. Le soir suivant, il joue de la musique, danse à travers le salon, et se sert même, dans le réfrigérateur, un petit goûter. Bien qu'il s'amuse beaucoup, Stanley se lasse de jouer seul. Il veut une petite fête et invite tous les chiens du voisinage. Malheureusement, le soir de la fête, ses propriétaires rentrent tôt. Pris en faute, Stanley doit participer au nettoyage, qui dure deux jours. Depuis, Stanley accompagne ses maîtres à chacune de leurs sorties. Linda Bailey et Bill Slavin, auteurs de la collection Good Times Travel Agency, reçoivent de nouveau un prix. Les acryliques de Slavin, amusantes et riches de détails, rendent à merveille la hardiesse de Stanley. Elles forment un beau complément à l'écriture simple et directe de Bailey. Stanley's Party séduira les jeunes lecteurs, et aura tôt fait de devenir un de leurs livres préférés. -AC BOOK OF THE YEAR FOR CHILDREN AWARD
Dans son roman Boy O'Boy, Brian Doyle trame l'intrigue et construit ses personnages avec brio. Le lecteur fait la connaissance de Martin O'Boy, un garçon doux et aimant qui habite, à l'époque de la Deuxième Guerre mondiale, avec ses parents et son frère invalide, une petite maison de la Basse-Ville à Ottawa. Les temps sont durs, et l'argent se fait rare. Afin de gagner quelques piécettes, Martin et son ami Billy se font engager durant l'été comme choristes. Mais voilà que l'organiste, M. George, fait preuve d'un intérêt malsain pour nos deux jeunes. Les garçons se sentent pris au piège, mais ils trouveront le courage de demander l'aide d'un ami de confiance afin d'échapper à M. George, un homme peu recommandable. Brian Doyle aborde, avec une grande considération pour ses jeunes lecteurs et ses personnages, l'épineux et complexe thème de l'abus sexuel. Boy O'Boy, d'une écriture remarquable, présente d'attachants personnages créés par un auteur qui comprend les enfants et leurs peurs et qui, transcendant les actes odieux que raconte cette histoire, fait preuve de compassion et d'humanisme. Mis en nomination par IBBY Canada en 1998 pour le prestigieux Hans Christian Andersen Award, Brian Doyle a remporté, entre autres, le Canadian Library Association's Book of the Year for Children Award à trois reprises, et il a reçu de nombreuses distinctions honorifiques nationales et internationales. -JP CANADIAN JEWISH NEWS PRIZE FOR CHILDREN'S LITERATURE
Le grand-père de Benny fait les meilleurs bagels en ville. Tout le monde les croit délicieux parce qu'ils sont faits avec amour, mais Grand-père explique à Benny que c'est plutôt Dieu qu'il faudrait remercier. Suit un récit touchant du garçon s'adressant à Dieu. Au début, le jeune Juif ne sait trop comment rendre grâce à Dieu, mais le pressant désir de le faire conduit Benny à la synagogue, un lieu où se rendent les gens pour être en contact avec Dieu. Le garçon ouvre bravement la lourde porte de bois de l'Arche sainte et y dépose un sac de bagels fumants. Il continue ses offrandes semaine après semaine, jusqu'au jour où il découvre que c'est un homme en loques et affamé qui les mangent. Le grand-père rassure son petit-fils déçu : rendant le monde meilleur, il a ainsi remercié Dieu. Bagels from Benny est narré avec humour et sensibilité par Aubrey Davis, conteur plein de talent. Les enfants seront séduits par cette adaptation d'un conte traditionnel juif d'Espagne qui réchauffe le cœur. Les illustrations expressives de Dušan Petričić, pleines d'humour et de sensibilité, agrémentent le récit. Chacune d'elle est encastrée dans un cercle d'un beige chaud, à l'image d'un bagel. -BF THE CHRISTIE HARRIS ILLUSTRATED CHILDREN'S LITERATURE PRIZE
Stanley est un bon chien, il sait qu'il ne peut pas grimper sur le canapé. Pourtant, un soir où ses maîtres sont sortis, il transgresse cette interdiction. Quel plaisir! Un peu avant minuit, il remet tout en ordre afin que personne ne se doute de rien. Le soir suivant, il joue de la musique, danse à travers le salon, et se sert même, dans le réfrigérateur, un petit goûter. Bien qu'il s'amuse beaucoup, Stanley se lasse de jouer seul. Il veut une petite fête et invite tous les chiens du voisinage. Malheureusement, le soir de la fête, ses propriétaires rentrent tôt. Pris en faute, Stanley doit participer au nettoyage, qui dure deux jours. Depuis, Stanley accompagne ses maîtres à chacune de leurs sorties. Linda Bailey et Bill Slavin, auteurs de la collection Good Times Travel Agency, reçoivent de nouveau un prix. Les acryliques de Slavin, amusantes et riches de détails, rendent à merveille la hardiesse de Stanley. Elles forment un beau complément à l'écriture simple et directe de Bailey. Stanley's Party séduira les jeunes lecteurs, et aura tôt fait de devenir un de leurs livres préférés. -AC ELIZABETH MRAZIK-CLEAVER CANADIAN PICTURE BOOK AWARD
Un clown cherche partout Pup, son chien perdu. Il demande à tous les personnages du cirque s'ils ont vu Pup, question à laquelle ils répondent par des phrases simples qui en anglais riment : « Je n'sais pas / Demande à Jo / Elle nourrit Mo » ou « Aucune idée / Demande à Jess / Il entraîne Bess ». Le lecteur fait la connaissance de personnages rigolos et se familiarise avec divers numéros de cirque : un magicien qui scie une femme en deux, une souris qui saute à travers un cerceau, deux trapézistes et un cavalier qui font ensemble un numéro. Les illustrations à l'acrylique sont simples, fascinantes et amusantes. Qu'il peigne un gorille vêtu d'une bavette à pois ou un cochon qui, sur le point d'être projeté par un canon, porte des lunettes de plongée, Pratt emploie des couleurs éclatantes - orange, rouge et bleu - pour représenter l'aspect étrange du monde du cirque. À la toute fin, le clown retrouve son chien bien-aimé (une page repliée révèle Pup au haut d'une pyramide humaine). Les rimes de Dodd et les illustrations expressives de Pratt font de Where's Pup? un merveilleux livre interactif plein d'humour et de suspense. -AC GEOFFREY BILSON AWARD FOR HISTORICAL FICTION FOR YOUNG PEOPLE
Dans son roman Boy O'Boy, Brian Doyle trame l'intrigue et construit ses personnages avec brio. Le lecteur fait la connaissance de Martin O'Boy, un garçon doux et aimant qui habite, à l'époque de la Deuxième Guerre mondiale, avec ses parents et son jumeau invalide, une petite maison de la Basse-Ville à Ottawa. Les temps sont durs, et l'argent se fait rare. Afin de gagner quelques piécettes, Martin et son ami Billy se font engager durant l'été comme choristes. Mais voilà que l'organiste, M. George, fait preuve d'un intérêt malsain pour nos deux jeunes. Les garçons se sentent pris au piège, mais ils trouveront le courage de demander l'aide d'un ami de confiance afin d'échapper à M. George, un homme peu recommandable. Brian Doyle aborde, avec une grande considération pour ses jeunes lecteurs et ses personnages, l'épineux et complexe thème de l'abus sexuel. Boy O'Boy, d'une écriture remarquable, présente d'attachants personnages créés par un auteur qui comprend les enfants et leurs peurs et qui, transcendant les actes odieux que raconte cette histoire, fait preuve de compassion et d'humanisme. Mis en nomination par IBBY Canada en 1998 pour le prestigieux Hans Christian Andersen Award, Brian Doyle a remporté, entre autres, le Canadian Library Association's Book of the Year for Children Award à trois reprises, et il a reçu de nombreuses distinctions honorifiques nationales et internationales. -JP |