Bibliothèque et Archives Canada
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Couverture reproduite avec la permission des Éditions
d'Acadie Ltée.
En 1755, au lendemain de la déportation des Acadiens, deux jeunes gens, Prémélia et son frère Fidèle sont brusquement séparés de leurs parents. Ils se réfugient dans la forêt de Memramkouke (aujourd'hui connue sous le nom de Memramcook) avec leur grand-père et son amie, Rosalie, où ils vivent cachés jusqu'à la fin de la guerre. Deux ans plus tard, Fidèle les quitte pour aller à la recherche de ses parents. Environ vingt ans plus tard, en 1775, tous seront réunis dans la vallée de Memramkouke. Ce livre intéressera tant les mordus de l'histoire que les passionnés d'aventure.
Couverture reproduite avec la permission de Livres Toundra.
À ses débuts, la ligue de hockey ne comprenait que quelques équipes dignes d'attention -- plusieurs s'entendraient pour dire une seule : celle des Canadiens de Montréal. L'étoile la plus brillante, le joueur le plus populaire, portait le numéro 9. C'était Maurice Richard. On comprendra la détresse du jeune narrateur dans ce récit, lorsqu'un jour, au cours de l'hiver 1946, il doit échanger son chandail de hockey rouge qui ressemble à celui de Maurice Richard contre un nouveau : celui, bleu, des Toronto Maple Leafs!!! Un pot-pourri d'émotions, fait de déception, de rancune, d'humour et de tendresse, nous est richement servi dans les illustrations pleine page qui soulignent l'intensité du récit et l'enjouement de l'auteur.
Couverture reproduite avec la permission des Éditions
Pierre Tisseyre.
Les enfants Gavin Stoakes et sa soeur Norah habitent depuis près de cinq ans chez Madame Florence Ogilvie et sa fille Mary, qui les ont accueillis en leur foyer à Toronto à titre d'«invités de guerre». Les invités de guerre étaient des enfants qui avaient été envoyés par leurs parents de la Grande-Bretagne au Canada durant la Deuxième Guerre mondiale, afin que ces enfants puissent échapper à la mort ou du moins aux fléaux de la guerre. Ce texte émouvant invitera le lecteur à partager les conflits auxquels les enfants, séparés de leurs parents en pays lointain, durent faire face, ainsi que ceux qu'ils durent surmonter après la guerre, au moment de leur retour. Quoiqu'il fasse partie d'une trilogie, Le Chant de la lumière forme un tout qui peut être apprécié isolément.
Couverture reproduite avec la permission de Suzanne Martel.
Suzanne Martel a créé un véritable chef d'oeuvre où les moeurs des coureurs de bois, les difficultés quotidiennes des pionniers et les préjugés de l'époque sont tissés au fil de l'amour que Sophie, âgée de cinq ans au début de la tétralogie, vouera à Menfou Carcajou du début jusqu'à la fin de l'histoire. Relié par la présence intermittente de Jeanne de Rouville, du roman antérieur Jeanne, fille du Roy, ce récit situé au XVII>e siècle comprend des descriptions pénétrantes et détaillées qui permettent une visualisation de l'univers qu'habitaient nos ancêtres.
Couverture reproduite avec la permission des Éditions
Québec/Amérique Jeunesse.
Le 17 juillet 1965, c'est la journée des noces de Suzanne, soeur aînée de Michel Bessette. Ce mariage permettra à Michel de retrouver son amie d'enfance, Sandra, la «cousine des États». Tout a changé depuis la dernière rencontre des cousins et Michel devra conclure que toute vie a sa part de bouleversements. Le charme de ce texte vient de l'habileté avec laquelle Jean Lemieux recrée l'ambiance des années 60 sans ennuyer le lecteur avec moult détails. En arrière-plan, des échos de la musique des années 60 et des références subtiles à un mode de vie passé permettent de comprendre les bouleversements des années 60. |
